V.D. : Lésion du foie et lésions osseuses
En juillet 2008, alors âgée que de 34 ans, après une mammographie et échographie suite à une inflammation du sein gauche, la descente aux enfers a commencée.
Très rapidement, une biopsie de mon sein gauche est faite. Et le diagnostic est tombé cancer du sein lobulaire invasif avec une tumeur de plus de 6,5cm. Une semaine plus tard, rendez-vous à Val d’Aurelle avec un oncologue. Bilan de la consultation, ablation du sein programmée 15 jours après, et protocole de chimiothérapie mis en place un mois après l’ablation. Et là, j’ai juste eu l’impression d’être dans un très mauvais cauchemar. Mère de 2 jeunes enfants, à l’époque, la douche est plus que glacée.
Après cette nouvelle, j’ai de suite pris les produits Beljanski, associé à du désmodium, et des probiotiques pour faire plus facilement face aux cures de chimiothérapie.
Juin 2009, fin du 1er protocole après 25 séances de radiothérapies. Ouf, je me croyais sortie d’affaire. Lors de la dernière visite avec l’oncologue, il m’a juste demandé de faire une mammographie/échographie et deux visites chez l’oncologue par an. Sage et disciplinée j’ai fait à la lettre ce qui m’avait été demandé.
Malheureusement, en juillet 2011, nouveau diagnostic cette fois-ci sur les os, trois ans après la tumeur primaire sur le sein. L’os du grand trochanter gauche est complètement bouffé par cette saloperie. A ce stade de l’évolution du cancer, j’ai 37 ans et je ne peux plus marcher. Encore une fois, rendez-vous chez plusieurs chirurgiens pour espérer bénéficier de la meilleure opération pour espérer retrouver la marche sans être estropier. Car une chose est certaine c’est que nous devenons vite leur chose si nous nous laissons faire….
Après cette opération faite avec succès, et de longues heures de rééducation j’ai retrouvé l’usage de ma jambe. Et encore 20 séances de radiothérapie, encore une fois, j’ai cru que j’allais souffler !!!
En août 2012, rebelote, déminéralisation du bassin alors que j’étais sous Fémara, (hormonothérapie). Septembre 2012, Xéloda (chimiothérapie orale) jusqu’en hiver 2014, évolution de l’étendu de la maladie sur les os. Des foyers de métastases secondaires sur le bassin, sacrum, colonne apparaissent. Le Xéloda, (chimiothérapie orale), n’est plus efficace. Sur le dernier scan une nouvelle lésion hépatique était présente. En juin 2014, trois mois de taxol. Là, les images donnent une stabilité mais de très courte durée.
Et c’est reparti pour un tour, en février 2015, je pars sur des cures K LX. Chimiothérapies qui auront un peu plus épuisées mon corps sans solution pour aller mieux. Heureusement pour moi j’ai eu connaissance de l’ACM. J’ai eu un homme dévoué, généreux, G…., de nombreuses fois au téléphone. J’ai commencé à prendre de l’Artémisine associé à la lactoferrine, dans un premier temps.
Mai 2015, un tournant dans ma bataille contre le cancer ! En plus de l’artémisine qui a maitrisé la lésion du foi, ce qui m’a fait sérieusement réfléchir. J’ai alors entamé le régime cétogène.
Quelques mois ont passé, les lésions osseuses toujours présentes j’ai accepté une dernière cure d’Erubiline et ai eu enfin le courage d’arrêter cette thérapie manifestement sans issue, de tout envoyer balader et de suivre le traitement de Sodium R Lipoate associé à du Garcinia Cambogia. En trois mois les images du scanner sont quasiment nettes. En 7 mois, la lésion du foie est un kyste biliaire et au niveau des lésions osseuses, mon corps fabrique à nouveau de l’os.
Pour conclure, la seule chose que je peux dire c’est qu’en 8 ans, la médecine moderne n’a su qu’épuiser mon corps sans solution de guérison. (75 séances de radiothérapie, et 2,5 ans de chimiothérapie). En 7 mois, avec la prise de simples compléments alimentaires j’ai un espoir d’avoir enrayé le cancer grâce à la bienveillance et le dévouement d’un homme qui a su me donner le courage de voir les choses autrement et d’essayer la voie métabolique de guérison du cancer. On peut se demander si nous ne sommes pas les victimes d’une machine à fric qui est le « CANCER » ???!!!
Je tiens également à remercier mon père qui depuis 8ans m’a soutenu et est encore là aujourd’hui, également sa femme Granny, mes frères et sœurs, mes enfants et Christophe et mes amis.
L’entourage est un atout majeur pour garder moral et courage pour combattre cette saloperie.
Virginie Damian