Mme M. : Cancer des ovaires

Bonjour,
Je m’appelle M. et j’ai 26 ans. On m’a diagnostiqué un cancer des ovaires en Septembre 2018 suite à une première opération qui a nécessité l’ablation d’un kyste. J’ai été de nouveau opérée en décembre pour enlever la tumeur sur le deuxième ovaire mais lors de l’opération ils m’ont découvert des implants péritonéaux (nodules, NDLR) au niveau du pubis, ce qui n’était pas le cas lors de la première opération. J’ai été opérée une troisième fois, un mois après, pour l’ablation de mes deux ovaires mais comme pour l’autre opération, ils m’ont à nouveau trouvé des implants au niveau du pubis et d’un des ligaments des ovaires. Suite à cette troisième opération, on m’a annoncé que j’aurais une autre opération pour l’ablation de l’utérus et la pose du PAC pour la chimiothérapie.

 

A ce moment ma mère s’est tournée vers C. pour lui annoncer tout ce qu’on traversait depuis septembre (peu de personnes étaient au courant de la situation). C’est alors que C. nous a parlé de l’armoise et du protocole métabolique. J’ai donc pris une première prise d’armoise juste avant l’opération pour l’hystérectomie et la pose de PAC. Une semaine après l’opération on m’annonce qu’aucune cellule cancéreuse n’a été retrouvée, alors que ce fut le cas à chaque fois précédemment. De plus, on me dit que la chimiothérapie n’est peut-être plus d’actualité. Et en effet un mois après, après une relecture complète de mon dossier, je suis enfin délivrée et apprends que je n’aurais aucune autre opération ni chimiothérapie.

 

J’ai fait mon premier contrôle en Juin (échographie et prise de sang) et tout s’était normalisé. Lorsqu’on m’a annoncé cette nouvelle, on m’a dit qu’ils étaient restés incrédules face à ma dernière opération et les résultats qui ont découlé car une fois que le cancer se développe au delà des ovaires c’est très mauvais, au vu du type de cancer que j’avais, du fait qu’il ne répond quasiment pas à la chimiothérapie.

 

Je suis très reconnaissante car sans C. et votre association je ne serai peut-être pas là où j’en suis aujourd’hui. J’espère que ce témoignage pourra servir et aider d’autres personnes dont la médecine trouve ses limites. »
M.